Nous nous sommes vus confier par un couple (et leurs 2 enfants ) les études de faisabilité pour repenser leur maison et la maison mitoyenne qu'ils venaient d'acheter.
Rien de bien difficile me direz vous? Si ce n'est que nous sommes sur des maisons des années 1990/2000 avec de généreuses structures en béton armé, structures totalement autonomes des parkings qui les supportent. L'appel à 2 bureaux d'études, l'un pour les structures acier et l'autre pour le béton armé, a été nécessaire.
Rajoutez à cela des architectes de l'Atelier FB un brin fous, et des clients qui leur font réellement (trop?) confiance. De cette alchimie est né un projet superbe, où les clients nous ont écoutés, surtout dans notre parti pris qui consistait à supprimer de la surface de plancher au premier étage et ce afin de faire une salle à manger cathédrale.
Pourquoi cette perte de surface alors même que le prix du foncier parisien ne cessent d'augmenter? Souvenez-vous des cette publicité des années 90: "et si le luxe, c'était l'Espace?"
La maison existante que les propriétaires occupaient souffrait d'un seul défaut, mais réel: une hauteur sous plafond trop faible au regard de la surface des pièces de vie, et donc une lumière naturelle assez réduite malgré de larges baies vitrées . C'est là où nous avons été heureux de la confiance réelle et indéfectible de nos clients. Le fait de décloisonner l'espace, de réorienter la cuisine ne nous permettait pas d'avoir une impression de gain d'espace. Nous optimisions les flux, sans pour autant créer l'effet wow auquel nous sommes attachés.
Ouvrir la salle à manger en double hauteur contribuait à apporter de la lumière par le biais de la fenêtre existante du premier étage, de ponctuer un espace de vie étendu à la maison mitoyenne. Evider le plancher du premier étage n'était pas une mince affaire. Plutôt que de créer de poteaux qui auraient obstrué le RDC, nous avons suspendu le plancher dont la structure était affaiblie! Un couloir de circulation longe le niveau supérieur de cette salle à manger cathédrale. Il permet d'accéder aux chambres des enfants et sa verrière en acier sur mesure contribue à éclairer cet espace et de voir les enfants déambuler dans la maison!
Le raccordement des deux maisons ne fut pas non plus une mince affaire, outre le fait de scier un pan de mur en béton armé, il nous a fallu placer 2 poteaux, dont l'un est masqué par un insert traversant qui vient ponctuer l'espace dinatoire d'un séjour cosy et plus intime. Pour insister cette impression d'intimité, nous avons dessiné une bibliothèque sur mesure sur tout un pan de mur afin de réchauffer la pièce.
Chaque maison disposait de son propre escalier. Nous en avons supprimé un au profit d'une penderie dans l'entrée et d'une salle de bain pour les enfants à l'étage, et nous avons remplacé l'autre par un escalier contemporain, fluide et léger, en chêne et suspentes d'acier (Joa.be)
L'escalier mène à l'étage, dévolu aux espaces de nuit: une grande chambre parentale ponctuée par un dressing en tête de lit et une salle de bain en béton ciré, deux chambres d'enfants, chacune disposant soit de sa salle de bain, soit de sa salle de douche et enfin une buanderie composent l'étage.
L'ensemble forme un tout agréable, cosy, dans lequel on rêve de s'installer, dans le canapé, en regardant le feu dans l'insert, ou bien dans la salle à manger, face à une cuisine ouverte sur un jardin paysager.
Nous nous sommes vus confier par un couple (et leurs 2 enfants ) les études de faisabilité pour repenser leur maison et la maison mitoyenne qu'ils venaient d'acheter.
Rien de bien difficile me direz vous? Si ce n'est que nous sommes sur des maisons des années 1990/2000 avec de généreuses structures en béton armé, structures totalement autonomes des parkings qui les supportent. L'appel à 2 bureaux d'études, l'un pour les structures acier et l'autre pour le béton armé, a été nécessaire.
Rajoutez à cela des architectes de l'Atelier FB un brin fous, et des clients qui leur font réellement (trop?) confiance. De cette alchimie est né un projet superbe, où les clients nous ont écoutés, surtout dans notre parti pris qui consistait à supprimer de la surface de plancher au premier étage et ce afin de faire une salle à manger cathédrale.
Pourquoi cette perte de surface alors même que le prix du foncier parisien ne cessent d'augmenter? Souvenez-vous des cette publicité des années 90: "et si le luxe, c'était l'Espace?"
La maison existante que les propriétaires occupaient souffrait d'un seul défaut, mais réel: une hauteur sous plafond trop faible au regard de la surface des pièces de vie, et donc une lumière naturelle assez réduite malgré de larges baies vitrées . C'est là où nous avons été heureux de la confiance réelle et indéfectible de nos clients. Le fait de décloisonner l'espace, de réorienter la cuisine ne nous permettait pas d'avoir une impression de gain d'espace. Nous optimisions les flux, sans pour autant créer l'effet wow auquel nous sommes attachés.
Ouvrir la salle à manger en double hauteur contribuait à apporter de la lumière par le biais de la fenêtre existante du premier étage, de ponctuer un espace de vie étendu à la maison mitoyenne. Evider le plancher du premier étage n'était pas une mince affaire. Plutôt que de créer de poteaux qui auraient obstrué le RDC, nous avons suspendu le plancher dont la structure était affaiblie! Un couloir de circulation longe le niveau supérieur de cette salle à manger cathédrale. Il permet d'accéder aux chambres des enfants et sa verrière en acier sur mesure contribue à éclairer cet espace et de voir les enfants déambuler dans la maison!
Le raccordement des deux maisons ne fut pas non plus une mince affaire, outre le fait de scier un pan de mur en béton armé, il nous a fallu placer 2 poteaux, dont l'un est masqué par un insert traversant qui vient ponctuer l'espace dinatoire d'un séjour cosy et plus intime. Pour insister cette impression d'intimité, nous avons dessiné une bibliothèque sur mesure sur tout un pan de mur afin de réchauffer la pièce.
Chaque maison disposait de son propre escalier. Nous en avons supprimé un au profit d'une penderie dans l'entrée et d'une salle de bain pour les enfants à l'étage, et nous avons remplacé l'autre par un escalier contemporain, fluide et léger, en chêne et suspentes d'acier (Joa.be)
L'escalier mène à l'étage, dévolu aux espaces de nuit: une grande chambre parentale ponctuée par un dressing en tête de lit et une salle de bain en béton ciré, deux chambres d'enfants, chacune disposant soit de sa salle de bain, soit de sa salle de douche et enfin une buanderie composent l'étage.
L'ensemble forme un tout agréable, cosy, dans lequel on rêve de s'installer, dans le canapé, en regardant le feu dans l'insert, ou bien dans la salle à manger, face à une cuisine ouverte sur un jardin paysager.